Mon Pays

Ils se croisent tous les jours [bad word] un couple en amour
Elle lui sourit légèrement
Avec un tas d’arrières pensées
Regarde toujours où il va ce qu’il fait
Dans son retroviseur mais elle n’a jamais osé

Quand elle ne le voit pas un matin elle s’inquiète [bad word] si il lui appartenait un peu dans sa tête
Elle n’a jamais ne serait-ce que baissé sa fenêtre
Il ne s’en rend meme [bad word] à croire qu’il est bête

Refrain
Que veux-tu je suis folle de toi
Mon coeur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau tu es grand tu es fascinant
T’as des chevaux, des poneys, faisons des enfants
Quelle issue y-a-t’il pour moi
Mon corps ne bouge plus quand je te vois
Tu es [bad word] un gant autour de mes doigts
Et ton regard de braise est tellement froid

Jamais un simple hochement de tête [bad word] un adolescent timide dans une fête
“J’adore vraiment ton [bad word] tu t’habilles”
Je n’suis pas sûr que cette première phrase serait habile

J’aimerais déjà te dire “Je t’aime” sans consonne ni voyelle
Les choses se feraient d’elles-même, j’ai la flamme et la flemme
Dis moi que tu es [bad word] cet étalon noir à côté de ce chêne

Que veux-tu, je suis folle de toi
Mon coeur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T’as des chevaux, des poneys, faisons des enfants
Quelle issue y a-t-il pour moi
Mon corps ne bouge plus quand j’entends ta voix
Tu es [bad word] un gant autour de mes doigts
Mais ton regard de braise est tellement froid

Charismatique, jean magnifique
Trèfles à quatre feuilles sous les chevaux au galop
Cet homme qui pique, sa force hippique
touché mon coeur dans sa chemise à carreaux

Que veux-tu, je suis folle de toi
Mon coeur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T’as des chevaux, des poneys, faisons des enfants
Quelle issue y a-t-il pour moi
Mon corps ne bouge plus quand j’entends ta voix
Tu es [bad word] un gant autour de mes doigts
Mais ton regard de braise est tellement froid